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Retrouver sa vraie nature d’ÊTRE, un mieux-être pour mieux aimer

Retrouver sa vraie nature d’ÊTRE, une démarche essentielle. Vivre bien avec soi-même pour vivre bien avec les autres, quel bonheur ! Mais comment atteindre ce Graal ? Quelles stratégies pour se libérer de nos blocages qui nous empêchent de vivre et d’être heureux ? L’art thérapeute Stéphanie Besnehard, rencontrée au salon Zen, nous livre ses réponses.

Retrouver sa vraie nature d’ÊTRE, c’est le thème choisi par Stéphanie Besnehard pour sa conférence à l’occasion du salon Zen qui s’est déroulé du 28 septembre au 2 octobre 2017 à l’Espace Champerret de Paris.

Comme toute démarche spirituelle qui tend à toucher le fond des choses pour atteindre une vérité, retrouver sa vraie nature d’ÊTRE requiert patience et travail, prévient la thérapeute. Elle le sait d’autant mieux, qu’elle-même, est passée par là.

Elle a connu divers éveils, à commencer par la thérapie sensorielle. L’intérêt de cette pratique est de parvenir à discerner comment on réagit avec nos sens. Poursuivant sa quête,  elle s’est ensuite intéressée à l’art thérapie, un autre moyen de mieux se connaître, “de libérer les blocages émotionnels. C’est une thérapie holistique qui prend en compte les souffrances psychologiques et corporelles.” nous dit-t-elle.

Art thérapeute, elle pratique également différentes thérapies, notamment la médecine traditionnelle chinoise, la réflexologie ainsi que les soins énergétiques. Sa démarche s’appuie sur le constat que toutes les réponses sont dans la nature, “C’est la nature notre meilleur exemple de fonctionnement” explique-t-elle “C’est le lien indispensable pour se re-connecter à soi.”

 

 

Pourquoi est-il si important de mieux se connaître ?

Mieux se connaître c’est d’abord s’accorder du temps à soi-même, s’intéresser à soi. C’est accepter de plonger en soi, de se connecter à soi-même… vraiment. Ce que Stéphanie Besnehard nomme “la qualité de présence à soi-même” permet de mieux s’aimer soi, mais aussi de mieux aimer les autres.

“Si l’on ne s’aime pas, on aura tendance à oublier l’essentiel, on aura des difficultés à aimer l’autre, à aimer son conjoint, ce qu’on fait, notre environnement, le lieu dans lequel on vit, etc.” explique-t-elle.

Ainsi, Prendre conscience de notre être profond permet de développer tout notre potentiel. Cette exploration attentive de nous-mêmes prédispose à une meilleure qualité relationnelle avec les autres. Elle améliore nos échanges et notre communication avec nos proches, notre famille et dans notre couple. En travaillant sur soi on développe notre capacité d’écoute, notre connaissance de soi et des autres, on apprend à doser d’avantage le positif et le négatif en s’accordant sur les priorités du moment.

 

La recherche pour retrouver sa vraie nature d’ÊTRE passe notamment par des états de conscience qui favorisent une véritable écoute de soi.

 

Comment explorer sa vraie nature ? Pour mieux être, la première chose à faire est de ne pas s’empêcher d’être. Ne pas s’empêcher d’être c’est avant tout accepter de partir à la rencontre de “notre petit être intérieur”. On retourne aux bases essentielles. On fait d’abord un état des lieux sur la manière dont on vit avec nos sens, comment on les perçoit.

Stéphanie Besnehard propose un petit exercice tout simple pour commencer. Elle part du principe que nos sentis innés, grâce à nos perceptions de l’odorat, de la vue, du toucher, de l’audition, du goût, nous donnent des informations précieuses sur nous-mêmes.

♥ Petit exercice pour une première exploration en soi :

  • Fermer les yeux
  • Sentir, percevoir notre corps à travers tous nos sens
  • Prendre conscience de son état présent : “..Est-ce que j’ai soif, est-ce que je respire bien, comment suis-je assis, comment ais-je posé mes pieds au sol… ?”

Cela permet un premier contact, une première prise de conscience de son état intérieur, de l’avant et de l’après.

La recherche pour retrouver sa vraie nature d’ÊTRE passe notamment par ces états de conscience qui favorisent une véritable écoute de soi. Un travail exigeant puisqu’il demande de savoir faire abstraction également des sollicitations sociétales. Car, comme nous le fait remarquer la thérapeute, nous vivons suivant un schéma du type Faire => Avoir. Nous sommes avant tout dans l’action : on fait les choses dans le but d’obtenir ce que l’on veut. Le grand absent, celui qui va nous permettre de mieux nous connaître, c’est l’Être.

 

Être, un chemin vers le mieux-être

Ce travail sur soi, ce voyage à la rencontre de soi, nous éclaire sur nous-mêmes et sur ce qui nous empêche d’être.

Les pensées d’auto sabotage, notamment, ces pensées parasites hautement nuisibles, qui nous empêchent de vivre. Mais aussi, les freins que l’on s’impose quotidiennement :  le sentiment d’insécurité qui engendre nos peurs, le poids de notre généalogie qui nous a transmis nos croyances et nos conditionnements, la tendance à cultiver son état de victime, bien pratique pour obtenir des bénéfices secondaires, mais qui nous aliène à un état de non-être artificiel, et pour finir la peur de souffrir. La liste serait encore longue de toutes ces choses qui nous empêchent de vivre, déplore la thérapeute.

Une fois que l’on s’est engagé sur ce chemin, les verrouillages, les blocages tombent progressivement révélant notre être profond et libérant notre sourire intérieur.

“Le sourire intérieur nous permet d’être. Et même si parfois l’environnement ne le favorise pas, si on a, en nous, ce sourire intérieur, ça facilite drôlement la vie”, explique Stéphanie Besnehard dans un grand éclat de rire.

 

La patience, un outil essentiel pour défricher le chemin

La patience est un outil indispensable pour avancer dans notre cheminement personnel. La patience est à la base de l’expérimentation. Il est important de s’autoriser des temps de patience nous rappelle la thérapeute “On ne peut s’expérimenter en tant que être si on n’a pas expérimenter la patience. La patience fait partie de notre vie. Parfois pour faire mûrir un fruit, suivant le climat, il faudra plus ou moins de temps. Pour notre vie de couple et la vie en général, c’est la même chose. Il faut laisser du temps parfois pour que les choses se mettent en place.”

 

L’art thérapie, une voie parmi d’autres

Pour ceux ou celles qui rêvent de vivre l’équilibre intérieur, qui ont du mal à se centrer, à développer une pensée positive sur eux-mêmes et sur les autres. Pour ceux ou celles qui ne prennent pas le temps de vivre vraiment, d’écouter leur corps et leurs pensées premières, l’art thérapie est peut-être une voie. Car, comme le précise Stéphanie Besnehard, lorsqu’on a ce que l’on veut mais que l’on n’a pas l’essentiel, c’est à dire l’être, il y a comme un déséquilibre qui crée en nous des conflits, de vilains parasites qui nous éloignent de notre vraie nature.

Belle exploration intérieure les amoureux !

 

Pour contacter Stéphanie Besnehard

Consultations au Centre du Bien-être à Coye-la-forêt (60)et à Luzarches (95).
Tél : 0651671383

 

 

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